L’emprunt immobilier est incontournable pour acquérir la maison de ses rêves. Encore faut-il savoir chez qui se rendre pour demander le prêt dont on a besoin et comment trouver la proposition la plus avantageuse en fonction de son projet.
Faire le bilan :
Avant de pousser la porte d’une banque, il faut connaitre le montant précis du prêt que l’on va solliciter. Pour cela, il faut faire le tour de son épargne, de l’argent que l’on pourrait recevoir de la famille, des amis… puis décider du montant à demander aux banques en procédant à plusieurs simulations pour vérifier que la mensualité de remboursement ne dépassera pas son taux d’endettement . Il faut aussi bien analyser le remboursement, et vérifier les différentes possibilités en fonction de la durée de l’emprunt et du taux proposé. Sachant que la loi interdit aux organismes de crédit de proposer des remboursements de mensualités supérieurs au taux d’endettement légal qui est de 30% en France
Démarcher les banques
Pour avoir le meilleur crédit et le taux le plus avantageux, pas de secret : il faut faire jouer la concurrence ! Plus on se renseigne et consulte d’organismes financiers, plus on a de chances de trouver l’offre qui nous convient. Pour pourvoir comparer deux banques, il faut présenter le même dossier et comparer le TEG.
Ceci n’étant pas d’une grande évidence, il est possible d’avoir recours à un courtier qui pourra proposer une meilleure solution.
Opter pour un courtier
Il est possible de rencontrer un courtier dans son cabinet ou de le contacter par Internet. Pour le particulier, ce genre de « service » est gratuit, le courtier étant rémunéré si l’affaire est conclue par son intermédiaire. Dans tous les cas, son analyse est objective à partir d’une demande précise sur un portefeuille important de crédits.
Faire jouer la concurrence pour négocier :
Il est également possible de faire le tour des banques pour inviter à la négociation. Il ne faut pas oublier qu’un crédit bancaire à long terme permet à la banque de fidéliser un client. Le banquier se verra donc « obligé » de revoir ses conditions en fonction de la concurrence.
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