Entre une correction des prix certes légère mais toujours bien réelle et des taux de prêt immobilier se repliant mois après mois, les acheteurs potentiels disposaient là de deux bonnes raisons pour reporter leur projet immobilier. Un attentisme souvent critiqué mais qui semble pourtant avoir porté ses fruits. Lasses d’attendre que les acquéreurs frappent à leur porte, les vendeurs commencent en effet à revoir leurs prétentions à la baisse et ce, de façon notable. Afin de s’éviter la désillusion d’une vente à perte, les propriétaires se sont ouverts à la négociation, concédant des rabais pouvant parfois excéder les 10% (notamment en province). Une situation qui n’épargne pas les grandes agglomérations où un candidat à l’achat peut négocier une baisse de prix oscillant entre 5 et 10%. Si les biens d’exceptions semblent encore résister, appartements et maisons avec défaut représentent désormais de belles opportunités pour les acheteurs potentiels.
- Actualité sur le même sujet : Une baisse de 15 à 20% des prix de l’immobilier
- Guide immobilier : Acheter un bien : la règlementation.
Laisser un commentaire