1 millennial sur 4 souhaite investir dans l’immobilier neuf
Aujourd’hui, 40 % des futurs acheteurs immobilier ont moins de 35 ans. 1 sur 2 est d’ailleurs primo-accédant. De jeunes acquéreurs plus enthousiastes que leurs aînés qui révolutionnent le marché et bousculent les habitudes. Nombreux sont, par exemple, ceux qui privilégient le digital et la technologie mobile pour effectuer des recherches et évaluer la pertinence des biens. Parallèlement, 88 % d’entre eux souhaitent également maintenir une relation privilégiée avec les professionnels en agence et se faire accompagner pour mener à bien leur projet.
Cette génération née entre 1980 et 2000 qui représente plus de la moitié de la population active mondiale, dessine les contours du marché de l’immobilier de demain et semble s’intéresser davantage à la construction. Une aubaine pour les promoteurs.
23 %
Acheter dans l’ancien : un projet réfléchi
Acheter un bien immobilier s’effectue rarement sur un coup de tête. Pourtant, la réflexion autour de l’acte d’achat varie selon la nature du bien. Ainsi, près de la moitié des projets de construction ont moins de 3 mois alors que les projets d’achat dans l’ancien ont entre 3 mois et 1 an. Une propension que confirment les résultats de la dernière étude menée par Logic Immo, qui fait apparaître des acheteurs respectivement « pressés » et « sélectifs ».
Maison neuve individuelle : des contraintes familiales et financières
L’adjectif « anxieux » quant à lui, ressort pour définir les acheteurs de maisons individuelles qui sont 93 % à en faire leur résidence principale. Une typologie d’acheteurs spécifique dont le projet revêt à 53 % un caractère d’urgence. Entre crainte d’une remontée des prix et des taux et changements importants au sein de la famille (naissance d’un enfant, mariage…), faire construire sa maison ressemble parfois à une nécessité. Cette urgence, certains acheteurs dans l’ancien la ressentent également lorsqu’il s’agit d’investir en zone tendue où la demande est bien supérieure à l’offre, ce qui nécessite beaucoup de réactivité et laisse peu de place à la négociation.
À noter que la maison individuelle séduit 55 % de CSP et 57 % de secundo-accédants.
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