Rendez-vous désormais traditionnel, le Palmarès du pouvoir d’achat immobilier publié chaque mois par le courtier Meilleurtaux établit le classement des villes qui offrent aux candidats à l’achat les conditions les plus avantageuses tant en terme de taux de crédit que de surface disponible. Peu de changement dans cette édition où, comme le mois précédent, Strasbourg s’affiche comme la ville où il fait bon acheter alors que Toulouse domine sur le front des taux bas.
Le pouvoir d’achat immobilier progresse
On prend les mêmes et on recommence. Dans un contexte où les taux de prêt immobilier affirment encore un peu plus leur attractivité, Meilleurtaux nous livre ce mois-ci un Palmarès du pouvoir d’achat immobilier sensiblement similaire à son édition précédente. Si le nombre de mètres carrés que peut s’offrir un emprunteur pour une mensualité de 1000 euros progresse légèrement (sous l’impulsion de la baisse des taux), les villes conservent toutes leur position. Strasbourg domine donc une nouvelle fois les débats en permettant l’achat d’un 82m² (contre 81m² il y a un mois), toujours suivi de près par Marseille (77m²), Toulouse (76m²) et Nantes (72m²). La stabilité est également de rigueur en queue de peloton où Lyon (51m²), Nice (49m²) et Paris (21m²) continuent de fermer la marche.
Le soleil de juin illumine les taux de crédit
Sur le front des taux de prêt immobilier, Maël Bernier, porte-parole du courtier, note que « les records sont battus de mois de en mois et cela est valable pour toutes les durées jusqu’à 25 ans« . Sur ce point, Toulouse succède à Marseille en proposant le taux sur 20 ans le plus attractif (2,45%). Sur ce mois de juin, Meilleurtaux annonce également avoir réussi à négocier des taux de 2,64% à Paris (contre 2,75% le mois dernier) et de 2,65% à Nantes et Bordeaux (contre 2,80% en mai).
« Il n’est désormais plus exceptionnel de concrétiser des dossiers à des taux inférieurs à 3% sur 25 ans et autour de 2,20% sur 15 ans, et cela sans disposer d’un apport hors-norme. 20% peuvent en effet suffire si les revenus sont stables et plus élevés que la moyenne nationale« , précise à ce sujet Maël Bernier.
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